« […] l’homme jeune que j’ai été n’offre pas un visage très plaisant du christianisme. On peut penser que toute foi repose sur un mécanisme de compensation, une illusion consolatrice. Dans mon cas, ça me paraît entièrement vrai. J’ai l’impression d’avoir été dans un rapport totalement névrotique à la foi. » (Emmanuel Carrère, Nouvel Observateur)
J’aurais pu écrire la même chose. Avec moins de brillance, mais dans une même vérité.